- 1999 « A Celebration of Frenh Arts and Culture with Michel Nedjar, Mino and Bertrand Lemoine » Alliance Française de Chicago
- 2001 Charles Dantzig « Mino en art majeur » Revue Femme, photographe Laurent Monlau
- 2001 Charles Dantzig (La Revue des deux Mondes, chronique Exposition)
- 2002 Patrick Modiano
- 2015 Pascal Tregan (Catalogue de l’exposition au Château de Sainte Suzanne, Mayenne)
- 2015 SE Mr Renaud Salins, Ambassadeur de France en Géorgie (Catalogue de l’exposition au Musée National Alexandre Chavchavadze de Tsinandali)
- 2013 « Le Pouvoir de la couleur » Entretiens de Valreas
- 2016 Caroline Clavier « un atelier à vivre » (Revue Côté Paris, photographe Carole Bellaiche)
- 2021 Emeline Massacret « dans les coulisses du Centre National du Livre » (Les journées européennes du patrimoine)
- 2023 « Antidesign » Galerie Avant-Scene, Editions Norma
Ministère de la Culture et de la communication- Lettre d’information
- lundi 29 juin 1989 « le Ministère s’ouvre à ses publics », (nouveaux espaces d’accueil et d’information page 2 et 3)
- 2010…2023… « Les journées européennes du patrimoine », visite du Ministère de la Culture et de la Communication, (hall d’entrée page 6 et 19)
Extraits
Centre National du Livre
21 Septembre 2021
« Pour tous ceux qui ne connaissent pas le Centre National du Livre, ceux qui n’ont pas pu visiter le bâtiment lors des Journées du Patrimoine(…), le clip de présentation avec Émeline Massacret, chargée de communication. »
» L’aménagement intérieur est fruit d’une Commande publique (1991). Le hall d’entrée du CNL accueille un bas-relief monumental de Mino qui a aussi réalisé le plafond du salon Ovale de réception du petit Hôtel d’Avejan où l’on trouve deux photographies d’anciens présidents du CNL: Monsieur Jean Gattegno (1944-1994) et Madame Évelyne Pisier (1941-2017). On doit aussi à Mino l’ensemble sculpté et peint du hall d’entrée du Ministère de la Culture, rue de Valois… »
à partir de O1:43, les trois temps forts de la visite.
« Entrez dans l’hôtel d’Avejan »dans les coulisses du CNL »
« …nous entrons dans le Salon Ovale d’honneur dont la particularité est le plafond peint par l’artiste complète Mino qui est à la fois peintre et sculptrice,.. » (120,43 m2)
Musée National Alexandre Chavchavadze de Tsinandali, Géorgie
Catalogue monographique de l’exposition 2015
« Dès 1985, Mino consacre une grande part de son travail à la réalisation d’oeuvres monumentales dans des lieux publics: hall d’entrée du Ministère de la Culture, hall d’entrée et salon de réception du Centre National des Lettres, murs pignons rue de Reuilly. Sa préoccupation essentielle est alors d’insérer la peinture à l’architecture.
En 1992, lauréate du Concours de la Casa Vélasquez, Mino voyage en Espagne pendant deux années et travaille libérée des contraintes liées à la commande. Elle se trouve alors confrontée à de nouvelles exigences et réalise un ensemble de peintures, dessins, gravures et monotypes. Puis elle se concentre sur la sculpture et dépasse largement ce qu’on appelle la sculpture de peintre.
Ce qui frappe chez cette artiste est la profondeur du regard. En suivant son chemin calme et solitaire, elle ne s’arrête pas à la surface de la toile mais va au-delà vers un mystérieux arrière-plan: son secret. » Patrick Modiano 2001
Dès lors, sa sculpture évolue vers la ronde-bosse; Elle réalise un ensemble de sculptures de grandes dimensions destinées à l’espace extérieur (bronze, ciment et granit) et travaille le modelage (plâtre, terre et papier mâché), la taille (ciment, granit).
Les œuvres de Mino jouent sur la double lecture; anthropomorphiques ou d’essence végétales, ses sculptures peuvent être liées au Cosmos : « la Chevelure de Bérénice », « Vénus », « l’ombre de la Girafe », « la Grande Ourse », « sous l’aile de Mercure », « la Comète », « Dans le ciel de Neptune », « le Balai de la Sorcière »… aux Eléments : « deux arbres dans le vent », « dans les plis », « Sirocco », « Onde », « Zéphyr »… à la Nature : « Mainfeuille », « Arbrefleur », « Baobab »… au Monde animal : « Arboiseau », « le petit âne et le cactus », « l’oiseau sur la branche », « fleur et girafon »…
Parmi ses thèmes, la danse occupe une place importante; ses sculptures oscillent entre le mouvement et l’attente: « Pieenlère », « Galipette », « Booz endormi », « tourako couché », « goupy », « diabolo », « chat debout »…
Charles Dantzig, avec lequel Mino a réalisé un « Bestiaire » ( Editions des Belles Lettres 2002) écrit: « Mino travaillait pour un cirque ambulant, le Cirque de Paris: décors de scène, boîtes d’illusionnistes, en 1980. Elle a longtemps représenté des éléphants, des jongleurs, des cavaliers pirouettant sur des chevaux. Au-delà même des motifs, le cirque a influencé sa façon de structurer l’espace de ses tableaux (…) d’y répartir la lumière en faisceaux focalisants. »
Le travail de sculpture de Mino est alors proche de sa démarche picturale. Ses sculptures sont frontales: ce sont des bas-reliefs en papier mâché polychromes, des formes découpées en plomb et bronze polychrome. « La peinture de Mino, même si elle a évolué, montrait déjà ses qualités essentielles: la vivacité, la luminosité, la décision, l’allégresse ». Charles Dantzig 2002
C’est cette même luminosité, cette même décision qui se dégagent des formes douce et arrondies de sa Sculpture, donnant un plaisir espiègle à la contemplation. « Mino travaille en supprimant comme on ferait en poésie, il importe d’enlever ce qui explicatif, il importe aussi d’éloigner le sujet… Elle ne laisse que les contours; quelque chose qui évoque plutôt qu’il ne montre ». Charles Dantzig 2001
L’imagination du spectateur prend le relais pour appréhender et interpréter ses œuvres, comme un nuage dans le ciel permet à chacun de laisser son imagination vagabonder pour y trouver une forme. Entre végétal, animal et humain le règne des Vénus de Mino s’avère dans une grâce sobre sans jamais perdre le pas sur une force presque enfantine. (Entretiens, Valeras 2013).
En 2012 Mino, en collaboration avec le photographe Hervé Tardy, réalise le livre « au-dessus du chemin de Compostelle », (Editions de La Martinière), elle dessine et écrit le journal imaginaire d’un pèlerin voyageur.
Ce livre annonce un nouvel ensemble de bas-reliefs: « le mouton poète », « les minots », « le cerf-volant », « le paradis »… en ciment, éclats de verre et matériaux ramassés sur la plage (2011-2015), présentés pour la première fois au Musée de Tsinandali.
Les sculptures de Mino que nous avons la chance de découvrir, sont présentées ici, au Musée de Tsinandali pour la première fois. Elles reflètent la tendance de ses dernières œuvres orientées vers une dimension plus intime dont l’origine se trouve dans les dessins réalisés pour le livre « Sur le chemin de Compostelle », lieu de haute spiritualité.
Mino, loin de tout embrigadement théorique se tient à l’écart des modes ou écoles. Ses bas-reliefs, expression majeure des grandes époques de la sculpture occidentale et proche-orientale, et ses têtes de pèlerin en ciment, par la lumière qu’ils dégagent, offrent à notre regard une réalité humaine, naturelle et même cosmique qui passée par ses mains nous est rendue plus douce.
Je remercie très chaleureusement M. George Ramishvili et le groupe « Silk Road Group » d’avoir permis la tenue de cette exposition mettant en valeur la création artistique française contemporaine dans ce magnifique Musée Alexandre Chachavadze de Tsinandali qui a toujours été un lieu de rencontre entre les cultures géorgienne et européenne. Je leur exprime toute ma gratitude pour leur exceptionnelle contribution à la diffusion de la culture française en Géorgie.
S.E Monsieur Renaud Salins Ambassadeur de France en Géorgie 2015
Revue FEMME n°155
MINO EN ART MAJEUR
Novembre 2002
Enfant, Mino fabriquait elle-même ses jouets. C’est un premier pas pour devenir peintre mais ce n’est pas le seul. C’est curieux la création d’un peintre, au moins aussi curieux que la création d’une peinture. Comment se fait-il que telle personne et pas telle autre en deviennent un ? On dirait que cela se décide par élimination, sur tant de petites filles qui créent leurs jouets certaines s’arrêteront là, d’autres continueront. Il y aura d’autres abandons.
Mino a continué. Elle a inventé des jouets bien après l’âge où l’on a des jouets. Persévérant encore elle étudie le piano pendant 6 ans. Sa première expression artistique d’adolescence a donc été la musique. On ne sait pas bien comment on doit exprimer son étrangeté à cet âge. Après la musique, à 18 ans, Mino a suivi pendant cinq ans les cours de l’Ecole Camondo (…) En même temps, Mino travaillait dans un cirque ambulant, le Cirque de Paris : décors de scène, boîte d’illusionnistes (elle connaît tous les trucs), orgue de barbarie, affiches, elle a même confectionné un costume de lanceur de couteau. Ce qui l’a amenée à créer des costumes avec Valérie Grall, décoratrice de cinéma qui dirige la revue Travioles avec Antoine Dumayet. « J’ai toujours été frappée par son élégance naturelle dans ses rapports avec les gens mais aussi avec les objets. Nous avons beaucoup travaillé ensemble pour le théâtre et puis je m’arrange pour glisser une image d’une peinture de Mino dans chaque film sur lequel je travaille. Dans « La vieille dame qui marchait sur la mer », avec Jeanne Moreau par exemple. C’est une délicate preuve d’amitie. Valérie Grall ajoute: « Mino a du courage et de la ténacité, et ce sont deux mots on ne peut plus exact. Etre artiste nécessite du courage surtout au moment de finir, car beaucoup de gens commencent un tableau, un livre, un scénario mais peu terminent, et de la ténacité, comme il en faut pour y arriver, pour y rester! Cette persévérance discrète et dure, Mino l’a eue, elle est devenue le peintre qu’elle est en peignant ses premiers tableaux en 1982. Ils étaient alors marqués par le cirque: elle a longtemps représenté des éléphants, des jongleurs, des cavaliers pirouettant sur des chevaux. Au delà même des motifs, le cirque a influencé sa façon de structurer l’espace de ses tableaux, qui sont souvent en vue plongeante, comme si on regardait une scène, et d’y répartir la lumière en faisceaux lumineux focalisants. Cette peinture, même si elle a évolué, montrait déjà ses qualités essentielles : la vivacité, la luminosité, la décision, une allégresse.
Du mot artiste il ne faudrait pas déduire une quelconque idée de caprice. Les artistes sont la plupart du temps sérieux, consciencieux, précis. Ils ont trop à faire avec leur travail pour perdre du temps. Connaissant sa rigueur, en 1987, Patrick Rubin l’associe à la réfection de l’entrée du Ministère de la Culture, rue de Valois, où elle a peint une fresque. Puis en 1991, il lui a proposé de réaliser une commande pour le Centre National des Lettres, rue de Verneuil où elle a sculpté le bas-relief monumental du hall d’entrée et créé la peinture du plafond du salon de réception. « Elle se situe dans une continuité, celle d’un certain travail de la peinture […] « . Mino peint par terre. Elle pose sa toile sur sol et travaille « on peut tourner autour, on est moins distrait, on n’a pas à s’intéresser à la perspective » (…) dans la Nature… on est exalté par le paysage, sur 360 degrés, on ne peut pas faire de choix » . Et ce choix, c’est un travail d’abstraction.
Mino travaille en supprimant. Comme on fait en poésie. Il importe d’enlever ce qui explicatif (…) Il importe aussi d’éloigner le sujet car c’est une facilité (…) Ce qui compte, c’est la façon dont nous représentons les choses. « Je suis penchée sur ma toile et surgissent des formes qui me donnent envie de faire, disons, un éléphant »(…) Après cela, elle peint un tableau qui ressemble à un éléphant puis enlève précisément ce qui lui ressemble pour ne laisser que des contours quelque chose qui évoque plutôt qu’il ne montre.
Après un certain temps de peinture, elle passe à la lecture, elle lit longtemps, puis soudain regarde son tableau, « il faut que je le surprenne ». C’est bien autre chose qu’une distraction « la lecture me donne envie de peindre ». Mino a du reste beaucoup lu et je ne crois pas qu’on trouverait beaucoup de peintre pour citer comme elle le fait tout naturellement l’Atala de Chateaubriand (…) « elle a le goût de la lenteur et de la réflexion » dit Dominique Modiano, créatrice de bijoux « cela a l’air très ennuyeux quand on le dit mais quand on la connaît on sait que ce n’est pas du tout cela », « Elle a le goût de la solitude ». Je dirais même que c’est une nécessité. On ne peut pas être un artiste sans être profondément un solitaire. » Je ne fais pas la peinture que j’aurais envie de faire. Comme le dit Georges Braque, « on ne fait pas fait ce qu’on veut, on fait ce qu’on peut ». « Ce que je voudrais, moi, c’est peindre (…) une peinture riche, pleine de formes et de personnages ». Qu’elle soit rassurée ce qu’elle peut peindre ou sculpter est excellent.
Charles Dantzig
La Revue des Deux Mondes
Chronique -Expositions-
Avril 2001
Mino que connaissent bien les habitants du Xlle arrondissement de Paris (son mur peint, rue de Reuilly) ou les visiteurs du Centre National des Lettres (elle est l’auteur du plafond du Salon de réception et du bas-relief de l’entrée) expose ses peintures et ses sculptures rue de Babylone. La vivacité. Le charme. La décision sous l’apparence de la fluidité, car elle a ce qui est la base de l’art, « elle choisit ». Mino a longtemps été bleue et jaune, elle est maintenant verte et orange. Sa peinture entraine l’enthousiasme »…
Charles Dantzig
Château de Sainte-Suzanne – Bergerie
Catalogue Exposition
2015
Peintre et sculpteur d’abord inspirée par le monde du cirque, Mino réalise dès 1985, des œuvres monumentales (…) . Longtemps marquées par une exigence formelle frappante, ses œuvres semblent maintenant habitées par les grands thèmes de la vie: la nature, l’être, le cosmos comme en témoigne le livre « Au-dessus du chemin de Compostelle » ( Editions de la Martinière ), le récent ensemble de bas-reliefs et le choix des oeuvres présentées à la Bergerie.
Pascal Trégan
Département de la Mayenne
Responsable du Château de Sainte Suzanne
Alliance Française de Chicago
1999
A Celebration of French Arts and Culture
April 30 – May 27, 1999
Michel Nedjar, Mino, Bertrand Lemoine
The Alliance Française and Borders is delighted to present programs by theses distinguished individuals coming from Paris: Michel Nedjar, Mino, Bertrand Lemoine.
« From Small Formats to Mural Commissions : A Single Préocupation – The Theme of Form and Color »
« The contemporary vision of this outstanding
French painter, sculptor and muralist adorns the walls and ceilings of several prominent Paris buildings, including the Ministère de la Culture and the Centre National des Lettres. Widely exhibited in France and Spain, the distilled linear forms caractéristic of Mino borrow their dynamism and spirit from the diverse artistic expressions of theatre, dance, music, literature and, perhaps her most profond reference, the circus. The artist considers her works to represent a kind of « écriture », or « handwriting »- a skilled notation responding to contemporary creative passions and impulse which renders her works immediate and of the moment. »the sensualité trace of the brush on canevas, the texture of the oils, the feel of the paper, the stroke of the pastel, the strain of watercolors in water, the knife’s incision through the linoléum directs my work toward the lines, traces and spaces where I hope thatcher the pleasure and liberation of painting will emerge. »
(Exposition de gravures, monotypes, encres…)
Galerie Avant-Scène
Inauguration Octobre 1986
Place de l’Odéon Paris VI
Mino, ce n’est ni un nom ni un prénom, un diminutif peut-être. Enfin, c’est ainsi qu’on l’appelle depuis toujours. Elle a 30 ans.
Après une enfance en Afrique, ses parents à l’écoute de ses aspirations, l’encouragent dans ses désirs artistiques et l’apprentissage du piano. Elle étudie le dessin à l’atelier Étienne Martin puis pendant cinq années, à l’Ecole Camondo, elle privilégiera le dessin, la couleur et le textile. Parallèlement à ses études elle réalise pour le Cirque de Paris, diverses structures et décors éphémères ainsi que des costumes de scène.
… Après son diplôme d’architecture intérieure, bien que ne pratiquant pas ce métier- elle lui préférera la peinture – elle en a conservé un profond attachement à une construction monumentale rigoureuse toujours très présente dans la composition de ses œuvres.
Depuis 6 ans, travaillant beaucoup et refusant tout dilettantisme, elle nous a déjà offert une œuvre très riche: illustration pour l’édition, décor de théâtre, le cirque, le cinéma.
Peintures murales, paravents, bâches peintes, enseignes, et un ensemble de peintures sur toile de plus petites dimensions.
On y retrouve ses mêmes thèmes majeurs , le Cirque qui, depuis sa rencontre avec le Cirque de Paris fut sans doute le déclic à la suite de ses œuvres, des animaux mêlés à une végétation luxuriante, réminiscence peut-être de son enfance , des fonds marins … Dans son travail, un aspect architectural, abstrait, parfois même minimaliste, très structuré, rigoureux et décidé côtoie aussi un aspect plus insaisissable suspendu, aérien, inachevé, onirique. C’est l’univers intemporel où tout est possible rien ne s’achève tout peut recommencer. C’est la révélation d’une personnalité complexe, une nature fine, sensible, réservée, même un peu timide mais terriblement éprise de liberté, sachant avec détermination, douceur, patience et persévérance où elle veut être. Mino semble ne pas aimer les choses planifiées, assorties, de bon goût, que l’on se doit d’assembler selon un ordre pré-établi; elle leur préfère les rencontres, les associations liées par hasard, certains mariages contre-nature et même les dissonances. Son cadre de vie lui ressemble, meubles et objets hétéroclites et imprévisibles s’entremêlent au milieu d’une végétation sans contrainte entourée de murs sur lesquels Mino a donné libre cours à son goût pour les fresques murales.
Actuellement, Mino travaille sur de nouveaux supports, elle réalise des peintures sur céramique. Notons aussi, récemment, un travail d’ illustrations pour les Editions Gallimard, Carré Noir. Puis, avec Valérie Grall des costumes pour l’émission télévisée « Merci Bernard « de Jean-Michel Ribes et la réalisation d’une peinture monumentale exposée au Grand Palais, au SAD85.
Pour l’ouverture, la Galerie Avant-Scène présente deux peintures sur toile.
Véronique Lopez y Cabello 1986